
Pour le porte-parole de l'état-major des armées, ce sont les nouvelles missions assurées par l'armée française en Afghanistan qui dérangent les insurgés. Le soldat tué faisait partie d'une unité en charge de "construire des bases pour l’armée afghane, à proximité des villages afghans, pour que l’armée afghane soit le plus proche possible de la population et puisse la protéger. Cette initiative inquiète les insurgés qui ont été rudement bousculés ces derniers temps et qui essaient de réagir par des harcèlements", a assuré l'amiral Christophe Prazuck.