Voir la vidéo
Pendant l’opération de fouilles du village de Khalikhel par le détachement afghan et français, une quarantaine d’hommes armés ont pris à partie le détachement afghan à l’arme légère et à la roquette.
Grâce au dispositif français mis en place sur les flancs nord et au sud de la vallée d’Alasaï, les insurgés n’ont pas pu manœuvrer et ont été durement touchés. Les deux sections de l’ANA qui assuraient la garde du flanc est du dispositif ont pu se désengager sous les tirs d’appui des mortiers français et des avions de la coalition.
Des armes, des munitions, des gilets de combat et divers documents ont été saisis dans le village de Khalikhel par les policiers afghans.
Plus tôt dans la matinée la 2° compagnie du GTIA Kapisa a mené avec la police nationale afghane une opération de reconnaissance dans le village de Sheh Kot au pied des versants sud de la vallée.
Appuyés par la compagnie française, les policiers afghans ont saisi des armes, de nombreuses mines anti-personnel, des obus, des roquettes et du matériel nécessaire à la fabrication d’IED. Un suspect a été interpellé par la police afghane, il s’agirait d’un chef insurgé de la vallée.
Sous commandement de l’état-major de la région Est de la FIAS, le GTIA Kapisa, commandé par le colonel Nicolas Le Nen, est déployé dans la province depuis le 19 novembre dernier. Il effectue quotidiennement des opérations de contrôle de zone et de sécurisation en collaboration de l’armée et la police afghanes. Depuis le début du mois de janvier, les soldats français ont reçu pour mission d’accroître et de maintenir la sécurité en Kapisa de manière à assurer le transfert de responsabilité aux forces de sécurités nationales.
Voir l'article original sur le site du Ministère de la Défense
Pendant l’opération de fouilles du village de Khalikhel par le détachement afghan et français, une quarantaine d’hommes armés ont pris à partie le détachement afghan à l’arme légère et à la roquette.
Grâce au dispositif français mis en place sur les flancs nord et au sud de la vallée d’Alasaï, les insurgés n’ont pas pu manœuvrer et ont été durement touchés. Les deux sections de l’ANA qui assuraient la garde du flanc est du dispositif ont pu se désengager sous les tirs d’appui des mortiers français et des avions de la coalition.
Des armes, des munitions, des gilets de combat et divers documents ont été saisis dans le village de Khalikhel par les policiers afghans.
Plus tôt dans la matinée la 2° compagnie du GTIA Kapisa a mené avec la police nationale afghane une opération de reconnaissance dans le village de Sheh Kot au pied des versants sud de la vallée.
Appuyés par la compagnie française, les policiers afghans ont saisi des armes, de nombreuses mines anti-personnel, des obus, des roquettes et du matériel nécessaire à la fabrication d’IED. Un suspect a été interpellé par la police afghane, il s’agirait d’un chef insurgé de la vallée.
Sous commandement de l’état-major de la région Est de la FIAS, le GTIA Kapisa, commandé par le colonel Nicolas Le Nen, est déployé dans la province depuis le 19 novembre dernier. Il effectue quotidiennement des opérations de contrôle de zone et de sécurisation en collaboration de l’armée et la police afghanes. Depuis le début du mois de janvier, les soldats français ont reçu pour mission d’accroître et de maintenir la sécurité en Kapisa de manière à assurer le transfert de responsabilité aux forces de sécurités nationales.
Voir l'article original sur le site du Ministère de la Défense